CultureEvenement.com a décidé de consacrer son 2ème post sur le Salon de l’Auto de Genève à une autre tendance : Le produit au cœur de l’animation digitale.
En effet, nous avons pu remarquer cette année que les annonceurs misent sur des animations ayant comme point d’entrée le produit réel. Revenir à l’essence même du produit sans le dénaturer pour communiquer sur la valeur ajoutée de celui-ci.
Voici donc un récapitulatif des animations basées sur ce principe.
1. Réalité augmentée
De nombreuses innovations sont présentes sur le stand Ford cette année. Nous y reviendrons en détail plus tard. Celle qui nous intéresse particulièrement dans cet article est une application de réalité augmentée destinée à présenter des pièces du nouveau moteur hybrid du constructeur américain.
Un moteur entouré de 3 iPads sur pieds articulés trône au milieu du stand. Sur chaque iPad, une animation 3D (exemple : animation montrant les mouvements des pistons dans le moteur ou la circulation des flux) ainsi que des informations textuelles apparaissent sur l’écran quand le tag est détecté par la webcam de l’iPad.
2. Le lab Renault
Pour présenter toutes ses innovations, Renault a mis en place un véritable « laboratoire » comprenant de nombreuses animations mêlant produits réels et animations digitales.
Un premier dispositif permet de réaliser un scan de la voiture pour découvrir ce qui se cache sous la carrosserie.
Un deuxième dispositif offre aux visiteurs la possibilité de configurer sa voiture. Il peut choisir la couleur de la peinture pour la carrosserie et l’habitacle ainsi que les tissus (les textures sont palpables).
D’autres applications permettent de mettre en avant un avantage du produit par exemple le court temps de chargement électrique pour la batterie, la connectivité du véhicule ou encore les faibles émissions du moteur hybride…
3. Les écrans transparents
Plusieurs constructeurs ont surfé sur la tendance en misant sur les nouveaux écrans transparents pour présenter des pièces bien spécifiques de leurs voitures.
On peut regretter que la mise en scène autour du produit n’ait pas été plus travaillée.
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